Identité :
Nom : Jared
Prénom : Mathew
Age : 19 ans
Sexe : mascilin
Sexualité : hétéro
Métier : Surveillant
Description :
Description physique :
Mathew est un brun de 1 mètre 79, d'après lui la taille parfaite. Il a la peau légèrement matte. Ses yeux sont de couleur marrons très claire et en forme d'amande. Les cheuveux du jeune homme sont pas très court et pas très long qui sont souvent ébourifé. Ses cheuveux de devant, lui cache son front . Il n'est pas très poilu et fait un peu de sport pour s'entretenir au niveau de la forme. On pourrais dire qu'il prend soin de son apparence physique bien qu'il ne fasse pas passer le physique avant tout.
Description psychologique :
Mathew est une personne vifs et charmante. Il est toujours aimable et d'une politesse exquise. Le jeune garçon est d'une grande gentillesse qui cache bien des choses. Mathiew n'a guère de conscience en réalité. Il se débrouille par tout les moyens pour vivre. Il ne parle que rarement de ses expériences douloureuses. Il passe pour un garçon de bon sens, d'un naturel optimiste. Le jeune hommes peut boire beaucoup sans jamais perdre sa lucidité. Il restait toujours maître de lui. Du moins en apparence.
Histoire :
Mathiew est né dans une famille assez riche de New-York. Le jeune garçon n'avait que trois ans à la mort de son père, descendant d'une famille de la haute société new-yorkaise. La fortune familiale fondé depuis des années, et la mère de Mathew avait rapidement dilapidé ce qu'elle avait hérité de son époux. Peu de temps après la mort de son mari, elle avait épousé un jeune aristocrate, héritier d'une riche famille de banquiers, qui s'était tout de suite attaché à Mathew et à son frère et sa soeur. Il les avait aimés et éduqués, inscrit dans les meilleures écoles privée, tout comme leurs demi-frères nés de ce mariage. La famille semblait sans histoire, ne manquait pas d'argent, mais le penchant croissant de sa mère pour la boisson avait fini par la conduire dans une institution, où elle était morte, laissant Mathew, son frère et sa soeur orphelins. Leur beau père, qui ne les avait pas adoptés, s'était remarié un an après la mort de leur mère. Sa nouvelle femme ne voyait pas pourquoi son mari se serait encombré de trois enfants qui n'étaient pas les siens. Elle avait bien voulu prendre en charge les deux fils qu'il avait eu de sa précédente union, mais avait tenu à ce qu'ils soient envoyés en pension. Quand aux trois autres, elle ne voulait tout simplement pas en entendre parler. Le beau père de Mathew avait cependant payé leurs études, et leur avait alloué à chacun une modeste somme, en leur expliquant, un peu honteux, qu'il ne pouvait plus les acceillir chez lui ni leur accorder davantage d'argent.
Après cela, Mathew avait passé ses vacances chez des camarades auprès desquels il avait joué de son charme pour se faire, inviter. Après la mort de sa mère, Mathew avait appris à vivre de ce charme dont il ne manquait pas. Il ne possèdait rien d'autre, mais savait s'en servir à son avantage. Durant ces années-là, il ne trouva pas d'amour et de soutien qu'auprès des parents de ses amis.
Il y avait souvent de petits incidents, lorsqu'il passait les vacances scolaires chez des camarades. De l'argent disparaissait, des raquette de tennis s'évaporaient mystèrieusement. Des vêtements n'étaient jamais rendus. Un jour, une montre en or s'était volatilisée en entraînant le renvoi de la jeune domestique. On avait découvert plus tard que Mathew couchait avec elle. Âgé de seize ans à l'époque, il l'avait convaincue de voler l'objet pour lui, et le produit de la vente l'avait maintenu en fonds pendant six mois. Sa vie était une lutte perpétuelle pour trouver l'argent nécessaire à ses besoins. Et il faisait ce qu'il falait pour y arriver. Toujours aimable et polit, il était d'une compagnie si agréable qu'il n'était jamais inquiété, quand les choses se gâtaient. Sa gentiellesse le mettait au-dessus de tout soupçon, et personne n'aurait imaginé qu'il puisse être capable du moindre méfait.
Quand le psychologue de son école avait émis l'idée que Mathew avait des tendances sociopathes, le directeur lui-même n'y avait pas cru. Clairvoyant, le psychologue avait deviné que, sous le vernis, Mathew n'avait guère de conscience. Mais le vernis ne manquait pas d'attraits. Au-delà des apparences, il était difficile de savoir ce qu'il était. Avant tout, c'était un débrouillard qui chechait à survivre, qui avait accumulé les coups du sort. Il n'avait que lui sur qui compter, et il avait été profondément blessé. Il avait été marqué à jamais par la mort de ses parents, l'abandon de son beau-père qui l'avait presque laissait sans ressource, l'éloignement de son frère et de sa soeur qu'il n'avait pas revus depuis qu'il était en pension dans d'autres écoles de la côte est. Plus tard, il avait appris que sa soeur s'était noyée, et cela l'avait encore un peu plus meurtri, lui qui n'avait déjà pas été épargné. Il parlait très peu de ces expériences douloureuses, passait pour un garçon de bon sensn d'un naturel optimiste. La vie n'avait pas été tendre avec lui mais à le voir, personne ne s'en serais douté. On ne voyait pas de traces visible des souffrances qu'il avait endurées. Les cicatrices étaient bien enfouies, soigneuseument cachées.
Les femmes lui tombaient dans les bras et les hommes appréciait sa compagnie. Ses camarades se souvenaient qu'il buvait beaucoups, sans jamais perdre sa lucidité. Il restait mettre de lui. Du moins en apparence. Les blessures de Mathiew étaient profondes, secrètes.
 l'age de dix-huit ans, Mathiew vouait voyager partout dans le monde. Il avait déjà visité de nombreux pays tous différent les uns des autres. Il arrivat au japon ou il s'y plaisait énormément. Il avait décidé donc de rester et de trouver un emploi. Quand il avait attein l'âge de dix-neuf ans, il trouva un petit poste de surveillant dans une école.
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Comment avez vous connu le forum ? : En naviguant sur le web. Par pur hasard.