.::Akari Naoma::.

Identité :

Nom : Naoma

Prénom : Akari

Age : 23ans

Sexe : Féminin

Sexualité : Hétéro

Métier : Docteur


Description :

Description physique :
Akari est très mince, elle à de longs cheveux blonds légèrement ondulés, et de grands yeux bleus. Elle se maquille très légèrement, et si vous voulez la reconnaître à une particularité qu’elle doit être la seule à avoir, elle se déguise les trois quarts du temps ! Elle adore changer de déguisements, changer de personnalité, et se changer sous des personnages différents, des humeurs et des caractères changeants.

Avant de rentré dans le pensionnat, elle s'est faite un piercing à la langue, c'était un rêve qu'elle avait depuis petite, mais elle ne voulait pas en parler à ses parents car ces derniers étaient contre le port de piercings. C'est une petite boule couleur argenté au reflets bleu très jolie, elle ne l'enlève que pour dormir.


Description psychologique :
Akari est très câline. Elle aime beaucoup tout ce qui se frotte contre vous pour ne plus vous lâcher, et c’est aussi un peu dans son caractère ! Quand elle aime bien quelqu’un, elle le lui montre parfaitement en le suivant partout, lui tenant le bras, le collant, le câlinant, lui faisant des bisous, etc. Mais parfois, elle sait garder ses distances, elle sait s’en tenir à des relations strictement amicales, ou du moins, ne pas coller toute la journée une personne qui ne désire pas ce genre de relation.

Sinon, elle est plutôt du genre espiègle. Adorant faire des blagues à ses amis, quitte à se déguiser en ours pour un câlin ou en ninja pour faire fuir une souris, elle aime beaucoup faire rire.




Histoire :

Akari naquit un beau jour de printemps dans un joli village japonais ou ses parents venaient de passer. Elle grandit dans ce monde de spectacle, de lumière et de figures changeantes, apprenant ainsi l’art de dissimuler sa personnalité derrière un masque ou une autre facette. Elle apprit à jouer le jeu du mensonge, de la ruse, mais passa une enfance douce et tendre, entourée de ses deux parents.

Un jour, alors qu’elle était déguisée en petit chat, pour le plus grand attendrissement des gens qui passaient pour acheter des tiqués au guichet qu’elle gardait avec un ami à ses parents, on entendit un cri poussé par l’assemblée entière qui était sous le chapiteau. Akari avait alors 8ans, et était en âge de comprendre que quand des gens criait, ce n’était pas parce qu’ils étaient heureux, ou du moins, elle savait différencier un cri de joie à un cri de frayeur, et celui-ci ne lui disait rien qui vaille.

Elle entra dans le chapiteau et vit allonger à terre inerte, son père, le visage pâle et ensanglanté. Quelqu’un l’attira contre elle, c’était sa mère, et l’emmena loin de cette scène qui resta gravée dans la tête de la jeune enfant. Les spectacles continuaient cependant, et quelques jours plus tard, les deux femmes apprirent que Niwa avait succombé.
Ce fut les plus tristes années de la vie d’Akari, mais certainement les seules.

Elle devint une jeune fille, enjouée et drôle, elle aimait faire rire les gens et se donner en spectacle, et adorait arborer avec fierté les costumes que sa mère lui faisait. Un jour qu’elle se baladait habillée en casimir, un homme l’aborda, et lui proposa de le suivre. Elle n’avait alors que 14ans, et se dit qu’il ne lui ferait rien de mal… Plus tard, ils arrivèrent dans un endroit plutôt sombre, et la voix de l’homme qui la rassurait le long du chemin devint de plus en plus inquiétante… Akari voulait revoir sa mère, et ne jamais avoir suivit cet inconnu, mais il était trop tard pour faire demi tour, et ce dernier ne semblait pas être d’accord pour la laisser repartir si vite qu’elle était venue. Il l’empoigna violemment et la plaqua contre le mur, puis lui ordonna de se laisser faire… La jeune fille comprit certaines choses ce jour là, et la première était que de suivre une personne qu’on ne connaît pas est une très, très mauvaise idée. Sentant la jeune enfant se débattre, l’homme se faisait de plus en plus violence, et la jeune fille réussit enfin à s’échapper de la prise de l’homme en le mordant au poignet, et courut jusqu’à perdre haleine.

L’inconnu ne la suivit pas longtemps, il avait certainement d’autres chats à fouetter. Une fois revenue à l’endroit ou était la fête foraine, elle vit que le chapiteau avait été plié, les manèges aussi, et que tout était parti… sans elle.
Là, elle s’asseye et seule pleura à chaudes larmes, sa mère l’avait-elle oubliée ? Oui, c’était ce que pensait la jeune fille, mais c’était le contraire, sa mère ne l’avait pas laissée ici, abandonnée si je peux dire, mais elle avait été forcé à la laisser, car ils devaient partir d’urgence pour ne pas être en retard à la prochaine étape de leur voyage, et maintenant qu’Akari avait grandit, ils disaient à sa mère qu’elle pouvait la laisser seule, qu’elle se débrouillerait, et que l’heure n’était pas à des recherches.

Plus tard, ils trouvèrent une nouvelle mascotte, et cette dernière s’habilla aussi des costumes de la mère d’Akari, riait comme elle, et vivait à sa place… Akari fouilla dans ce qui restait de la foire, et retrouva une petite valise laissée ici à la hâte avec un mot posé dessus. Essuyant ses larmes, elle lisait et vit que ce mot venait de ses parents… Voilà ce qui était écrit :

"Ma chérie,
Nous savons qu’à présent tu es assez grande pour affronter la vie d’adulte, et que tu peux voler de tes propres ailes. Nous avons ensemble mit de côté des affaires pour toi, que tu pourras porter, et quelques déguisements, tes préférés. Nous t’aimons beaucoup, et nous t’embrassons. Tu viens de faire 6 ans, et tu deviens une grande et belle fille.

A notre chère et tendre enfant.
Niwa et Nina."

A la fin de la lecture de ce petit billet, Akari sécha ses larmes une fois pour toute, empoigna sa valise, et commença à marcher. Quand elle ouvrit sa valise, elle trouva bien les affaires que ses parents lui avaient mit de côté, mais elle trouva aussi une feuille…

Pourquoi :
Les parents d’Akari désiraient plus que tout qu’elle trouve un foyer convenable le jour ou ils devraient se séparer, et Nina avait trouvé après la mort de son mari un pensionnat, le pensionnat Seika, qui pourrait convenir parfaitement à leurs attentes. Elle avait écrit le jour même pour demander la future admission de sa fille, et elle reçut un billet lui disant qu’elle serait acceptée lorsqu’elle aurait minimum 16ans.

Elle réussit après de longues études et cours de rattrapages à rentré dans une fac de médecine, et avoir son diplôme de docteur par la suite...

Akari se décida à y aller à 23ans, quittant les amis qui l’avait hébergée jusque là et étant au courant pour cette histoire de pensionnat.

Code:[ Code Bon, par Aki ]

Autres :

Comment avez vous connu le forum ? : Par Eyek et Akira... ^___^